Camus



Camus à l'émission Second regard. Ça n'a servi à rien de l'écouter sinon à se rappeler qu'il n'y avait pas de journalistes capables de traiter la littérature à Radio-Canada.

Entrevue avec la fille d'Albert. Elle nous a dit qu'elle avait de l'admiration pour son père...

On nous a décrit Camus comme "un écrivain solaire" en référence à ses phrases lumineuses et à ses affinités avec le soleil d'Alger... Pour ma part, j'ai relu L'été pour attraper un peu de cette "luminosité". C'est vrai que les phrases de Camus sont pleines de soleil, mais à la télé et avec la petite musique et les images nostalgiques, ça sonnait cul-cul pas à peu près.

L'été, cette nouvelle aux phrases magnifiques m'a fait me demander si on pouvait encore écrire comme ça, aujourd'hui. En lisant, j'étais persuadé que non, que ça ne se pouvait plus.
Camus est indissociable d'un "moment philosophique" de l'Histoire comme l'écrit Frédéric Worms dans le Télérama hors-série. À lire ou relire Camus, tout simplement.

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